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Affichage des articles du janvier, 2011

31, outre un allemand, un balbuzard écossais pour mes camarades anglais... !

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 La plaine alluviale et ses marais, entre les deux digues, au soleil déclinant  2 011 01 31, 18h20  / ©  Photo par Frédéric Bacuez * Plaines alluviales, côté Djeuss. Digue Bango-Mboubeune vers le Maroum Diassik- APREM', 15h50-19h- En véhicule, avec Tim et John, du Rutland Osprey Project (Angleterre) Météo : ciel dégagé, températures clémentes OISEAUX / 34 espèces et sous-espèces  MAMMIFÈRES / 1 espèce  REPTILES / 1 espèce  Vu, liste non exhaustive : Cormoran africain ( microcarbo africanus , long-tailed cormorant )  Héron cendré ( ardea cinerea , grey heron )  Héron pourpré ( ardea purpurea , purple heron ), 2 ind. Gardeboeuf d'Afrique ( bubulcus ibis , cattle egret ), 2+ ind.  Aigrette garzette ( egretta garzetta , little egret ) Grande aigrette ( egretta alba , great egret )  Crabier chevelu ( ardeola ralloides , squacco heron )   Pygargue vocifère ( haliaeetus vocifer , african fish eagle ), 1 ind. crie en vol Balbuzard pêcheur  ( pa

31, retour dans le Gandiolais, avec le Rutland Osprey Project

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 Brouillard maritime matinal sur le parc national de la Langue de Barbarie (PNLB)  Au loin, à l'aval du fleuve Sénégal, l'ilot nu où nidifient sternes et mouettes (à g.), dit' l'Île aux oiseaux' 2011 01 31, 9h / ©  Photo par Frédéric Bacuez * Gandiolais et parc national de la Langue de Barbarie (PNLB)- 7h30-~13h30- En véhicule et à pied. Avec Tim, John et Paul - du Rutland Osprey Project  (Angleterre, Grande-Bretagne). Météo : brumes maritimes matinales puis ciel bleu et températures sous nette influence des alizés océaniques. Ci-dessus : parc national de la Langue de Barbarie  (PNLB);  - en haut, côté fleuve Sénégal et Langue de Barbarie  - en bas, côté lagons et continent   2011 01 31 matin / ©  Photos par Frédéric Bacuez OISEAUX / 48 espèces, 3 sp. entendues MAMMIFÈRES / 2 espèces  Vu : Pélican blanc ( pelecanus onocrotalus ) /  Héron gardeboeuf ( bubulcul ibis , cattle egret ) /  Balbuzard pêcheur ( pandion haliaetus , osprey ) /  Mi

30, buthus, un Scorpion jaune

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  un Scorpion jaune bel et bien vivant et... armé ! 2011 01 30 / @ Photo par Frédéric Bacuez * Bango - SOIR, 18h - Alexandre, son papa Eddy et son camarade Walter viennent nous présenter un scorpion jaune "non désamorcé" et en savoir un peu plus sur ses habitudes alimentaires... A savoir: le scorpion, l'une des rares espèces à pouvoir survivre à une dévastation nucléaire est un grand consommateur de criquets et cafards, ce dernier étant l'autre espèce vivante à tenir tête à l'atome... Demain, les enfants présenteront le sympathique cuirassé à l'école et feront un exposé naturaliste pas piqué des vers. Ci-contre : scorpion à la mode juvénile / @ Photo par Frédéric Bacuez

30, 1 balbu par km sur 24 kms de fleuve Sénégal !!!

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 L 'équipe du Rutland Osprey Project (Grande-Bretagne) en action: un minimum de 23 balbuzards pêcheurs comptés et identifiés à l'aller, un maximum de 39 au retour ! Fleuve Sénégal, 24 kilomètres entre Bango et le barrage de Diama / ©  Photo par Frédéric Bacuez * Sénégal, sur 24 kilomètres du fleuve entre Bango et le barrage de Diama - Nota: nouvelle journée d'inventaire balbuzophile; aujourd'hui sur le fleuve Sénégal, entre la pointe Thiolet, au débouché du Djeuss, et le barrage de Diama qui barre le fleuve Sénégal à 24 kilomètres au nord. Quelques observations importantes: 1. - En remontant le fleuve, à marée haute, par la rive mauritanienne: observé un minimum de 23 balbuzards ;  E n redescendant le fleuve, à marée basse par la berge sénégalaise: observé un maximum de 34 balbuzards !  Soit probablement 27 à 29 balbuzards (hors doublons), ce qui représente une exceptionnelle densité. 2. - Soit au minimum 1 balbuzard présent tous les kilomètres

30, fleuve Sénégal, Bango-Barrage de Diama AR

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- Ci-dessus: marée descendante sur le fleuve Sénégal, face à l'affluent mauritanien de Guèyéloubé. Le 'second' amarre la pirogue balbuzophile plus au large tandis que l'expédition prend l'ombre et se restaure sur la berge sénégalaise... en observant le duo de Balbuzards des confluents puis un Phacochère et deux Loups dorés en maraude sur les vasières maures... 2011 01 30, 12h / ©  Photo par Frédéric Bacuez - Ci-après: à g.,  le Pygargue vocifère plane à la proue de la pirogue - à d., accostage du zénith pour le pique-nique sous l'ombre chiche 2011 01 30, 8h50 et 12h05 /  ©  Photos par Frédéric Bacuez * Marigot de Djeuss et fleuve Sénégal, de Bango au barrage de Diama - 7h30-16h. En pirogue motorisée - et halte pique-nique sous des acacias de la berge sénégalaise face à l'affluent mauritanien du Guèyéloubé. Remontée du fleuve: 7h30-11h15, 3h45mn. Avec Cheikh Aïdara, le barreur Abdoulaye, l''écopeur' Pape, et l'équipe du Rutl

29, les lagons du Gandiolais toujours en eau

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Sur la petite colline surplombant le marigot qui alimente le grand lac de Gueumbeul: une fauvette orphée et  un petit pic gris  ! / ©  Photo par Frédéric Bacuez * Gandiolais et parc national de la Langue de Barbarie - 8h45-~18h. En véhicule 4x4 et à pied. Avec Tim, John et Paul, du Rutland Osprey Project (Grande-Bretagne). Temps: ciel essentiellement azur, 25-30° ! OISEAUX / 78 espèces cochées MAMMIFÈRES / 4 espèces cochées REPTILES / 2 espèce vues Ci-contre: le Rutland Osprey Project franchit le Rubicon, euh... le pont cassé du marigot de Gueumbeul...  / ©  Photo par Frédéric Bacuez  Vu, à Bango: Choucador à longue queue , 1 ind. / Bulbul (commun) des jardins /  Calao à bec noir , 2 + 1 ind. / Entendu: Pic goertan ( dendropicos goertae ), 1 ind. / Vu, Gueumbeul-Gandiolais*: Cormoran africain ( phalacrocorax africanus ) /  Pélican blanc ( pelecanus onocrotalus , great white pelican ), un vol de 33 + 2 ind. [Gueumbeul] /  Pélican gris ( pelecanus

29, la plus 'laide' route du monde *

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* " La plus belle route du monde commence après un virage et une grande descente des collines vers l'océan : dix kilomètres de route qui longent la côte à égale distance entre le rivage et le haut des collines. On roule jusqu'au bout, où la route s'éloigne à nouveau de la côte, et on revient, en regardant défiler les petits champs mélangés aux dunes qui précèdent la mer, puis on s'arrête à proximité d'une butte de terre où nous faisons un pique-nique de mandarines, d'avocats au citron, de concombres, de Vache qui rit et de Danone à la vanille. On regarde surtout vers le bas, vers l'océan, mais la colline à laquelle nous tournons le dos est essentielle, on la ressent comme le contrepoids du paysage auquel nous faisons face. Souvent les routes traversent le paysage en le découpant. Ici, la route tient le paysage, elle est posée sur la ligne merveilleuse où les forces s'équilibrent. Le regard est guidé en pente douce par les lignes de pierres qui