16-18, bébé huppe pointe le bout du bec hors de la loge natale !

2015 05 16, Bango 11h20, l'une des toutes premières 'émergences'  hors de sa loge natale d'un oisillon 'euro-africain'  de huppes fasciées d'ici et de là-bas !
 / © Photo par Frédéric Bacuez

* Bango. Impasse Gustave Pelloux -

Les aventures d'un couple mixte de huppes fasciées 
upupa epops epops (Europe) x upupa epops senegalensis (Afrique occidentale), suite...
En rappel sur Ornithondar, les précédents épisodes:
Il y a de la couvée en perspective chez les huppes..., 2014 01 23
événement: huppes sénégalaise x européenne = couple mixte, 2014 02 1
'Oasis' de Bango: huppes mixtes et barbicans au rendez-vous, 2015 03 9

Quelle aventure, en effet ! Enfin ! Après trois années d'observations patientes et attentives (et attentionnées), il est vrai interrompues à chaque fois au mauvais moment par les irrépressibles lubies voyageuses d'Ornithondar, nous pouvons certifier depuis le 16 mai 2015 qu'un appariement de huppes fasciées de deux sous-espèces (races) différentes peut non seulement durer dans le temps (trois ans au moins dans ce cas précis !) mais aussi engendrer une progéniture que nous décrirons, pour la compréhension humaine, de métissée... Les ornithologues à cheval sur leurs principes terminologiques appelleront ça de l'hybridation - comme il s'en produit tout le temps, partout, chez un certain nombre d'oiseaux, bien que marginalement au regard de la totalité des espèces animales vivant sur cette planète.
Depuis trois jours donc, la frimousse déjà décidée d'un(e) petit(e) métis(se) passe beaucoup de temps au balcon de sa loge natale creusée dans un vénérable prosopis: comme le diamètre de l'orifice ne laisse passer que la tête d'une seule huppe à la fois, on ne peut savoir jusqu'à l'envol définitif si la nichée (de 5 à 8 œufs en moyenne) a laissé éclore plusieurs pulli. Pour l'heure, l'oisillon que l'on voit émerger attend impatiemment sa ration journalière de larves, surtout, d'araignées et même de blattes; mais qu'on ne s'y trompe pas: c'est surtout ce nouveau monde lumineux qui retient toute l'attention du/des huppillon(s); la tête dodeline à droite et à gauche, se penche pour regarder au-dessus et au-dessous mais rentre vite dans la loge ténébreuse comme le coucou de nos horloges, à la moindre anormalité... Et, déjà, nous sommes à l'évidence de ces anormalités, nous, bipèdes... Alors que le souïmanga (chalcomitra s. senegalensis) qui vient aussi admirer le nouvel enfant, ou l'agame (agama agama) qui arpente l'écorce autour de la cavité n'ont pas l'heur d'effrayer le petit "messager d'amour"* - qui connaît déjà son statut, son aura dans le monde des oiseaux, et au-delà, dans l'univers des poètes et des mystiques humains.

* Huppe - poésie, mystique et Islam... Lire sur Ornithondar:

Le Simorg / Acrylique et crayons, par Inno, © 2008





















Nota - quelques chiffres pour bien suivre le calendrier:
Saison reproductrice: mi-février à début mai en Afrique du nord, probablement à partir de fin janvier dans notre bas-delta sénégalais
4/5 à 8/9 oeufs, rarement jusqu'à 10/12 oeufs, pondus à un jour d'intervalle chaque
L'incubation dure de 15/16 à 18 jours, exclusivement par la femelle
La période de nidification dure de 24/26 à 28/32 jours
Les éclosions, comme la ponte, sont asynchrones (soit en moyenne durant 5 à 9 jours)
Les pulli demeurent au nid après éclosion durant 20 à 26 jours
La femelle protège ses oisillons au nid pendant les 9 à 14 premiers jours
La crête des huppillons apparaît au 15e jour
Les oisillons sont visibles à l'entrée de la loge entre le 20e et le 24e jour après leur naissance
Premier envol entre le 26e et le 29e jour


Acte I, 21 février-21 mars - 
Dans les temps: tout a l'air de fonctionner, dans le couple...

Photo n° 1- Avec tout de même un mois de décalage par rapport à l'an passé, nos célèbres huppes fasciées de deux races différentes (upupa epops epops, une femelle d'Europe, et upupa epops senegalensis, un mâle d'Afrique de l'ouest) s'acoquinent à nouveau, en cette fin de février 2015. Le 20 de ce mois, le couple a bientôt achevé son rapprochement saisonnier: monsieur pupule à souhait et fait des offrandes alimentaires à madame (cf. photo ci-dessous, le mâle africain est à droite, la femelle européenne à gauche), exclusivement des larves d'insectes qu'il va déterrer des sables après les avoir intensément sondés à l'aide de son bec arqué. Jusqu'au moins le 26 février, le couple est le plus souvent observé ensemble; les 21 et 22 février, madame a visité la même loge que l'an passé. La cavité creusée dans le vénérable prosopis avait été (jadis) forée par d'autres, probablement des pics goertan, dendropicos goertae. A la fin du mois, madame demeure dans la loge de plus en plus souvent, durablement; monsieur lui donne la becquée tantôt à l'extérieur, sur la branche sciée qui domine la cavité quand la femelle sort du trou pour quelques étirements, tantôt directement à l'entrée de ce qui est en passe d'être le nid de toutes les promesses.

Photos n°2 à n°4- Le 21 mars, soit un mois après les échanges de nourriture nuptiaux entre les deux partenaires huppés, madame epops est particulièrement visible, hyperactive: toute la journée elle entre et sort de la loge; dans l'après-midi, on peut la voir agrippée à l'écorce du prosopis, au seuil de la loge, comme si elle donnait à manger à des oisillons tout juste nés... 

2015 02 20, 18h15. Parade nuptiale: le mâle senegalensis (à d.) donne la becquée à la femelle epops / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 03 21 12h. La femelle epops entre... / © Photo par Frédéric Bacuez
... et sort (pas toujours aisément) de la loge... 2015 03 21 12h  / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 03 21, 16h. La femelle epops donne-t-elle à manger à des oisillons ? / © Photo par Frédéric Bacuez
Acte II, 22 mars-24 mars - 
Échec de la nichée: bien des questions et d'incertaines hypothèses

Photos n°5 et n°6- Patatras ! Dès le 22 mars, nous voyons bien qu'il y a comme un hic chez nos voisins huppés... Il semble que madame epops ait pris la clé des champs, ou la poudre d'escampette - allez savoir pourquoi ? Nul signe de sa présence dans les alentours: serait-elle au fond de sa loge en train de nourrir et protéger ses oisillons ? On sait qu'après l'éclosion, qui a probablement eu lieu entre le 18 et le 21 mars, les nouveaux-nés restent au fond de la loge natale durant 20 à 26 jours, protégés au nid par la femelle pendant une période qui va de 9 à 14 jours. Ce qui nous trouble néanmoins, c'est de voir le mâle senegalensis comme affolé, avec des proies dans le bec qu'il ne parvient pas à donner à l'entrée de la loge - qui ne répond plus, en quelque sorte... Pendant trois jours (22-24 mars), on peut voir le mâle désorienté, ne comprenant visiblement pas ce qui se passe, ce qui s'est passé; il est farouche, s'enfuit prestement à la moindre de nos apparitions, même lointaines, fait de nombreux allers et retours, toujours avec des 'aliments' dans le bec dont il ne sait à l'évidence plus que faire. Il se perche souvent à l'écart du prosopis, la larve capturée pendante au bout du bec (cf. photo ci-dessous). 

Qu'a-t-il pu bien se passer, entre le 21 et le 24 mars ? Le 22 mars, nous n'avons rien remarqué de particulier car nous n'avons pas vraiment pu observer la vie intime de nos voisins huppés... Quant au 23 mars, hélas, Ornithondar et ses collaborateurs étaient à Sal-Sal, loin de l'impasse Gustave Pelloux (Voir ICI)... Une chose est certaine - la suite des événements, avec une nouvelle nichée menée à terme, le confirmera vite-, c'est que cette couvée a échoué, et très vite après l'éclosion. Pour expliquer le fiasco, les hypothèses ne manquent pas:
  • une prédation animale ? Bien que quatre chats traînent leur instinct chasseur dans le périmètre (on a même vu un jeune mâle grimper jusqu'aux plus hautes branches de l'arbre qui abrite la loge, entraîné vers les cimes par deux coucals provocateurs... et stratégiques...), il nous paraît peu vraisemblable que les félins aient pu déloger les pulli de leur antre. Plusieurs raisons à cela: dès leur naissance, les petites huppes sont dotées d'une arme défensive radicale, leur odeur ! Leur glande uropygienne produit d'abord un fluide particulièrement malodorant, qui rend la loge inhospitalière pour tout intrus qui voudrait prendre la place; de plus, dès le 6e jour de leur existence, les pulli sont capables de se retourner et projeter leurs fientes sur tout prédateur qui tenterait de pénétrer dans la loge; last but not least, très tôt ils savent imiter le sifflement du serpent, appuyé de coups de bec, pour éloigner l'importun qui insisterait... La forteresse natale, bien qu''à portée de mains', est pour ces raisons assez inexpugnable !
  • une prédation humaine ? Si les jeunes Sénégalais n'ont pas la fièvre destructrice de leurs confrères ouest-africains (Maliens, Burkinabè, Ivoiriens entre autres, dont chaque enfant ne peut se déplacer sans son lance-pierres), ils sont nombreux, comme souvent en terres d'Islam mais aussi d'Asies, à vouloir coûte que coûte domestiquer, élever, bref s'approprier un oiseau sauvage... Le jeune homme qui balaye les sables du jardin a récemment tenu à me montrer combien il aimait, comme moi, les oiseaux, me présentant une caisse en carton dans laquelle il avait disposé deux tourtereaux (streptopelia senegalensis) dénichés au bout de la ruelle. Sur mes conseils, et ceux du vieux maçon qui travaille à surélever une bâtisse de la propriété, il avait relâché les deux oisillons que leur mère eut tôt fait de récupérer dans l'arbre voisin... L'oiseleur n'aurait-t-il pas profité de notre absence du 23 mars pour déloger les petites huppes ? Le 25 mars à Bango, un autre jeune homme tentait de vendre un pélican blanc (pelecanus onocrotalus) à un Toubab résident du village, c'est tout dire... L'offre, la demande, l'argent encore et toujours... 
  • une mort naturelle ? Il faut déjà savoir que le taux de réussite de la reproduction est de 53% chez les huppes fasciées. Bref, une chance sur deux qu'une nichée parvienne à son terme ! On ne connaît pas les causes de cette productivité aléatoire: la cause de notre insuccès n'est pas, ici à Bango, la rareté alimentaire, loin s'en faut; le périmètre regorge de proies (en particulier de larves de cétoines et de ténébrions puisées au fond des sols sablonneux, mais aussi de libellules et d'agrions, de grillons et de cigales, de blattes, de fourmis, des adultes et des larves de mouches, d'araignées, de cloportes, de mille-pattes voire des petits lézards comme les tarentes et les acanthodactyles). Il est possible que l'échec soit imputable ici à une éclosion trop précoce; à une mauvaise ventilation de la loge; à une surchauffe liée à un changement brutal des températures; ou tout simplement à une difficulté de croisement génétique - il ne faut pas oublier que le couple mixte d'une huppe d'origine européenne et d'une huppe locale reste une anormalité de la nature, une étrangeté voire une première mondiale...

2015 03 26, 17h40. Le mâle senegalensis ne sait plus trop que faire de ses aliments... / © Photo par Frédéric Bacuez 
2015 03 28, 11h. Le chagrin... du mâle senegalensis / © Photo par Frédéric Bacuez

Interlude, 25 mars-31 mars - 
Rebelote, ça pupule grâve ! Et madame epops revient au bercail...

Photo n°6 et n°7- Après le drame, monsieur huppe senegalensis se remet très vite à pupuler. D'abord avec des proies au bout du bec, puis sans. Comme à chaque démonstration nuptiale, il prend place dès le 25 mars sur le perchoir (une branche rompue) qui surplombe l'entrée de la loge, inspire longuement pour faire gonfler sa poitrine avant d'expirer, bec entrouvert, et lancer à la cantonade son fameux hoop-oop-oop, sourd mais audible à distance (cf. photo ci-dessous). Le chanteur reste néanmoins très farouche, inquiet, sur le qui-vive. On peut le voir s'approcher de l'entrée de la loge à plusieurs reprises, sans aliment, rejetant la tête en arrière dès lors que l'oiseau se rend compte que nulle vie ne répond depuis la pénombre du tronc (cf. photo ci-dessus)... Le 28 mars, dernière tentative: on peut le voir agrippé à l'entrée de la loge, avec un aliment au bec, en vain: personne, aucune femelle pour saisir la proie tendue. Mais qu'est-il donc advenu aussi de la femelle epops ?

Photo n°8- Le 31 mars, ô miracle ! La femelle epops est là, revenue de sa fuite, de sa fugue ! Peu après midi, la voici perchée sur le perchoir préféré du couple, regardant attentivement alentour, surtout au sol (cf. photo ci-dessous). Très vite, le mâle la rejoint et lui donne la becquée - comme si nous étions revenus en janvier et février, aux temps des premiers amours de saison... Dans les heures qui suivent, les pupulements de monsieur senegalensis comme par enchantement s'estompent puis disparaissent: sa dulcinée est de retour à la maison !

2015 03 25, 12h10. La huppe mâle senegalensis pupule à nouveau / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 03 31, 12h10. Le retour de la huppe femelle epops / © Photo par Frédéric Bacuez

Acte III, 2 avril-26 avril - 
Deuxième nichée: on est aussi anxieux que le toupet de monsieur est en bataille...

Photos n° 9 à n° 12- C'est reparti pour un marathon nourricier ! Le 2 avril en fin de journée, on peut voir le couple s'activer autour de l'entrée de la loge: la femelle entre et sort du trou; le duo transporte des aliments (18h55). Dans les jours qui suivent, le calme est revenu: la femelle est à l'évidence en train de pondre puis de couver au fond de la loge car seul le mâle est observé transportant des aliments (essentiellement des larves) qu'il tend dans la pénombre de la cavité, agrippé à l'écorce du prosopis. Dans sa volonté de bien faire, il s'est même accroché la huppe dans l'étroit orifice pour tendre ses proies à la femelle qui ne quitte plus la loge; du coup, une plume duveteuse pend à l'arrière de son casque comme un toupet à l'envers: notre père attentionné a l'air fin, avec sa coiffe ébouriffée (cf. photo n° 11 ci-dessous)... 
Du 11 au 25 avril, le couple passe l'essentiel de la journée à convoyer de la nourriture vers la loge: plus les jours passent, moins la femelle reste à l'intérieur et participe tout autant que le mâle à rechercher la nourriture puis l'acheminer vers le nid. Si maman entre et sort de la loge à sa guise - même si elle doit, pour ce faire, se faire mince !-, papa n'y entre jamais - formellement prohibé par maman qui fait confiance à son homme mais veille au grain... A partir du 17 avril, les larves sont complétées voire remplacées par des araignées et autres proies du genre. Le 21 avril, le mâle vient sonder les sables de notre jardinet, près des mange-mil (moineaux dorés, tisserins sp.). A partir du 26 avril, le couple est régulièrement vu veiller à quelques mètres de la loge, sur des perchoirs jusqu'alors peu fréquentés: conifère, bougainvillées, flamboyant, portique de balançoire, corde à linge... De là, les huppes croassent fréquemment, comme pour inciter leur(s) rejeton(s) à pointer le bout du bec hors de la loge native... Ces croassements sont beaucoup plus soutenus quand une chatte vient faire la sieste dans les feuilles mortes au pied d'un jeune arbre (à partir du 28 avril); l'une après l'autre, les huppes viennent se poster et rouspéter à l'aplomb du félin, qui n'en continue pas moins de roupiller (vu les 7 et 8 mai, cf. photo n° 13 ci-après)...

2015 04 8, 12h25. La huppe mâle senegalensis transporte de la nourriture / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 04 12, 17h05. Le mâle senegalensis apporte des aliments à la femelle epops restée dans la loge / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 04 24, 17h55. Le mâle senegalensis tend la nourriture à la femelle epops - qui garde les oisillons / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 04 24, 17h55. La femelle huppe epops garde la 'maisonnée'... / © Photo par Frédéric Bacuez

Épilogue, 26 avril-18 mai - 
Eurêka ! Une bouille extatique au balcon !

Photos n° 13 à n° 16- A la fin du mois d'avril, tout particulièrement en fin de journée, les aller et retour entre les sites d'alimentation et la loge sont incessants. Début mai, le nourrissage a déjà commencé à sept heures du matin ! Entre chaque ration, les huppes croassent depuis les perchoirs environnants du prosopis qui abrite la loge. La femelle est au bord de l'épuisement - pardon, du burn -out...: on la voit de plus en plus souvent s'assoupir, notamment sur la corde à sécher le linge - même avec une larve vivante maintenue entre les mandibules du bec (cf. photos n° 13 à n° 16)...

Photos n° 17 à n° 22- Le 16 mai à 11h20, enfin, l'heureux événement: une frimousse apparaît à l'entrée de la loge: c'est un oisillon du couple mixte euro-africain, donc un(e) petit(e) méti(se) ! A vrai dire, il faudrait voir les ailes pour se rendre compte qui du père ou de la mère a imprimé sa marque au(x) nouveau(x)-né(s) ? Pour l'heure, c'est la même trombine rigolarde et extatique commune à tous les bébés huppes qui vient à la lumière du monde, due aux babines crème et rosâtres qui soulignent la commissure des mandibules. L'oisillon dodeline de la tête pour regarder alentour, au-dessus, au-dessous, à droite et à gauche, rentrant prestement dans l'obscurité du nid dès qu'un bruit ou un mouvement sont perceptibles par le petit chose... 
Jusqu'à notre départ du 18 mai, les parents donnent dès lors la becquée à l'oisillon qui apparaît bec grand ouvert à l'entrée de la loge. Ils en sont parfois réduits à faire du quasi vol stationnaire pour distribuer la nourriture tant la voracité du petit empêche les adultes de s'accrocher à l'écorce de l'arbre (cf. photos en bas de notule)...

2015 05 7, 8h50. La huppe femelle epops râle au dessus d'un chat endormi / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 10, 17h. La huppe femelle epops est fatiguée ! / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 10, 17h05. La huppe femelle epops se gratte sans jamais faire tomber les plats ! / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 13, 14h50. La femelle epops invite de plus en plus ses petits à sortir la tête hors de la loge / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 16, 11h20. Coucou, c'est moi, le huppillon epops x senegalensis ! / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 16, 11h20. Au seuil du monde... Babines juvéniles à l'entrée de la loge natale / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 17, 11h.  Huppe juvénile epops x senegalensis et 'papa' / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 17, 11H05. 'Papa' senegalensis va donner la becquée à 'huppillon' epops x senegalensis / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 17, 11H05. 'Papa' senegalensis donne la becquée à 'huppillon' epops x senegalensis / © Photo par Frédéric Bacuez
2015 05 16, 11h25. Les babines juvéniles d'une huppe epops x senegalensis ! / © Photo par Frédéric Bacuez

A savoir sur les huppes fasciées:
Lire Migraction.net/ La huppe fasciée

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